Ils représentent plus de la moitié de la population mondiale, pourtant les phototypes 4.5.6 — soit les peaux foncées selon la classification de Thomas Fitzpatrick — sont peu ou pas, pris en compte dans la formulation, les tests et le développement des produits de soin pour la peau, corps et visage.
Cette absence de prise en compte de la diversité dans la stratégie des marques de cosmétiques pourrait leur coûter cher, selon les experts interrogés par Pascale Brousse, experte des tendances de la beauté et autrice d’une étude dédiée au sujet.
Dans sa récente étude sur l’impact du changement climatique sur le secteur de la beauté, Pascale Brousse, fondatrice de l’agence Trendsourcing, s’est intéressée au traitement des peaux foncées en cosmétique.
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