Avec l’été qui approche, la question du choix d’une crème solaire revient sur toutes les lèvres. Pourtant, face à une offre pléthorique et des compositions souvent opaques, difficile de s’y retrouver. L’application Yuka, connue pour son analyse indépendante des produits alimentaires et cosmétiques, propose un classement actualisé des 12 crèmes solaires les mieux notées, toutes gratifiées d’un 100/100. Mais au-delà du score, que valent vraiment ces produits pour la peau… et pour la planète ?

Yuka plébiscite les crèmes à la composition irréprochable

Le classement établi par Yuka s’appuie sur plusieurs critères stricts, au premier rang desquels figure la sécurité des ingrédients. Sont exclues toutes les substances reconnues comme perturbateurs endocriniens, allergènes majeurs ou cancérogènes suspectés, mais aussi les filtres UV problématiques, souvent épinglés par des études scientifiques.

Exit donc l’octocrylène, l’oxybenzone ou encore l’avobenzone, fréquemment cités pour leurs effets nocifs sur la santé humaine et l’environnement. À la place, les produits recommandés privilégient des filtres minéraux ou des filtres chimiques de nouvelle génération, mieux tolérés.

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