Challenge tests alternatifs Biolumix : retours sur 3 ans d’exploitation by Cosmepar

8 décembre 2017

Après 3 années d’exploitation du dispositif BioLumix et plus de 2200 études réalisées, Cosmepar répertorie les scenarii rencontrés et leur application concrète dans le développement de nouvelles formules cosmétiques :

1. Assurer la transposition industrielle d’une formule

« Je complète l’information du CT paillasse par le BioLumix sur le premier lot de fabrication. »

2. Définir les spécifications industrielles en conservateurs et les plages d’acceptation pH

« Le CT est OK lorsque les conservateurs sont à la bonne dose, qu’en est-il en conditions dégradées (perte de 20% de conservateurs, pH plus faible ou plus élevé ?) »

3. Suivre le pouvoir antimicrobien de la formule dans le temps

« Le CT à T0 est OK, pourquoi ne pas tester à nouveau la performance conservatrice les à l’issue de l’étude de stabilité ? »

4. Prospecter de nouvelles solutions conservatrices

« Mon fournisseur de MP me propose une molécule antimicrobienne révolutionnaire, je le teste en BioLumix sur une de mes formules cadres avant d’aller plus loin »

5. Consolider les dossiers « formule de base » – éviter le recours à l’héritage

« J’ai une gamme avec des déclinaisons de parfums ou de couleurs. Un CT sur la base neutre, je complète sur les déclinaisons par BioLumix ! »

6. Etudier le pouvoir antimicrobien en fin de DDM des PF

« Je fais le ménage dans mon échantillothèque, j’en profite pour tester à nouveau les performances conservatrices par un dosage et une mesure d’efficacité par BioLumix »

7. Evaluer le risque microbiologique sur formules défaillantes

« Je constate une diminution de mon taux de conservateurs sur un lot de production. Sont-ils en quantité suffisante pour résister à une attaque microbienne ? »