L’industrie de la beauté, très dépendante des points de vente retail physiques, et peu développée dans l’e-commerce, devrait voir son chiffre d’affaires reculer de 20 à 30% cette année, selon McKinsey. Face à l’adversité, le secteur a innové pour recréer, grâce au live streaming et à la réalité augmentée, une expérience similaire à un institut de beauté et ce, en toute sûreté.
S’il a simplifié les routines beauté, le confinement a aussi réveillé l’importance de la composante santé. Et si green et clean beauty ont jusqu’ici phagocyté l’individualisme, la blue beauty compte bien réconcilier l’individu avec les enjeux de la planète et de ses océans. Une tendance qui se voit dans la R&D, le packaging et l’expérience client.
Avec la situation pandémique et le port du masque, maquillage et parfum n’ont pas été parmi les produits les plus recherchés lors du confinement alors que les produits de soins ont été particulièrement plébiscités. Ainsi d’après le cabinet d’étude McKinsey, le soin a représenté 37% des achats beauté au mois d’avril. Le confinement aidant, les consommateurs n’ont pas tardé à adopter une approche “Skinimaliste”, consistant à réduire les étapes de la routine beauté ou le nombre de produits.
Publié par Victor Gosselin, le 25 décembre 2020
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