Qu’il semble loin le temps des premières imprimantes à jets d’encre des années 1970 ! À l’époque, reproduire de la peau en « chair et en os » aurait tenu de la science-fiction. Aujourd’hui le bio-printing en 3D est bel et bien devenu une réalité, aussi bien en termes technologiques qu’économiques. Preuve en est, son marché, qui représentait 1,4 milliard de dollars au niveau mondial en 2020, devrait grimper jusqu’à 4,4 milliards en 2028. Une technologie de pointe qui intéresse tout particulièrement le monde de la cosmétique, grande consommatrice de peaux « artificielles » pour son industrie.
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