Les fractures osseuses les plus complexes sont généralement soignées grâce à des tiges et des plaques en titane permettant de stabiliser l’os abimé. Les chirurgiens injectent ensuite des matériaux biocompatibles remplis de substances qui favorisent la guérison. Les nouveaux cubes imprimés en 3D ont pour but d’améliorer cette étape.
En effet, les échafaudages traditionnels manquent de flexibilité, relèvent les auteurs de l’étude, contrairement à ces cubes qui sont modulaires et donc adaptables à de multiples situations. En assemblant des segments de blocs contenant quatre couches de quatre briques par quatre, les chercheurs estiment qu’il est possible de créer plus de 29 000 configurations différentes.
Publié par l’Usine Digitale, le 27 Juillet 2020
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