Une chercheuse suédoise a lancé un défi peu commun à une intelligence artificielle (IA) : rédiger par elle-même une publication scientifique. Cette dernière avait justement pour objet sa propre capacité à écrire ce type de publication. Le document est encore en attente de validation par la communauté scientifique.
« Rédigez une thèse universitaire en 500 mots sur le GPT-3 et ajoutez des références scientifiques et des citations à l’intérieur du texte ». Voici l’instruction sibylline que, par un après-midi pluvieux, la scientifique suédoise Almira Osmanovic Thunström a donnée à GPT-3. Cette intelligence artificielle est un algorithme de génération de texte développé par OpenAI. Le terme « intelligence artificielle » se rattache, selon la définition du Conseil de l’Europe, à « une discipline jeune d’une soixante d’années, qui réunit des sciences, théories et techniques (notamment logique mathématique, statistique, probabilités, neurobiologie computationnelle et informatique) et dont le but est de parvenir à faire imiter par une machine les capacités cognitives d’un être humain ».
Par Morgane Olès le 2 juillet 2022
BYOME LABS est une startup française spécialisée dans les tests et analyses du microbiome. Notre…
Aurélie Sogny 26 Décembre 2024 Des actifs surdoués aux formules pointues en passant par les…
11 Avril 2025 Issu de la biotechnologie, Zenakine « renforce la résilience de la peau face…