La médecine anti-âge progresse. Certes, l’échantillon (14 personnes) semble bien faible. Mais la stratégie fonctionne ! Ces personnes vont mieux. C’est une première et elle semble ouvrir des perspectives immenses.
Les 14 personnes en question n’avaient rien des quinquagénaires hésitant entre une piqûre de Botox et un lifting. Voire les deux. Elles souffraient de fibrose pulmonaire idiopathique, une affection pulmonaire fatale et difficile à traiter. Voilà pourquoi elles étaient toutes volontaires pour participer à l’expérience.
Il s’agissait du premier essai sur l’homme de traitement par des médicaments sénolytiques. Autrement dit, des substances luttant contre la sénescence cellulaire. Jusqu’alors, les premiers médicaments avaient été utilisés sur des souris vieillissantes dont on avait réussi à prolonger la bonne santé. Cette fois, on est passé à l’homme.
« Cela nous donne dans une certaine mesure le feu vert pour poursuivre les essais à plus grande échelle », déclare James Kirkland, professeur à la Mayo Clinic, qui a contribué à la réalisation des essais menés dans des cliniques au Texas et à la Wake Forest University depuis 2016. Autrement dit, les centres de recherche les plus à la pointe sur le sujet.
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