Qui n’a jamais manipulé au cours de son parcours scolaire la réputée « boîte de Petri » pour ensemencer des cultures de bactéries ou d’organismes cellulaires supérieurs ?
Si cette solution mise au point en 1887 par le bactériologiste Julius Richard Petri répond encore à des centaines d’expérimentations quotidiennes, ce type de systèmes in vitro « n’est pas pertinent biologiquement et autorise de grandes différences entre les tests in vitro et in vivo » explique Damien Fleury.
Docteur en biophysique moléculaire, il a co-fondé Nanobiose en juillet 2016 avec Sarah Milgram pour développer un dispositif « lab on a chip » (laboratoire sur puce) baptisé « SecretCells ».
Publié par Auvergne Rhône-Alpes Entreprises
Le choix est étourdissant dans les magasins, il est souvent compliqué de s’y retrouver tant…
Avec l’été qui approche, la question du choix d’une crème solaire revient sur toutes les…
En 2025, les nouvelles sensorialités émergent pour faire la part belle à l’hédonisme. Le plaisir…