Par Fruzsina Piukovics
Une étude menée par les experts de l’Agence Européenne de Produits Chimiques (ECHA) présente le lien de corrélation entre les résultats des tests de toxicité aiguë et toxicité subaiguë dans le cadre d’une approche des éléments de preuve. Quelles seront les conséquences de cette étude pour les déclarants REACH ? EcoMundo décode pour vous les principales informations de l’étude.
microscope
L’action des produits toxiques se manifeste selon différentes temporalités (à court, moyen ou long terme) et cette action varie notamment en fonction de la dose à laquelle la personne est exposée. On distingue principalement trois niveaux de toxicité : la toxicité aiguë, la toxicité chronique et la toxicité subaiguë.
La toxicité aiguë désigne les effets nocifs (aigus) résultant de l’exposition à une seule forte dose d’un produit ou d’une seule exposition à celui-ci.
La toxicité chronique désigne un effet nocif (chronique) résultant de doses répétées d’une substance, ou d’expositions à celle-ci, au cours d’une période relativement longue.
La toxicité subaiguë désigne les effets nocifs dus à des doses plus faibles, résultant de l’exposition chronique à une substance au cours d’une période plus courte.
Dans le cadre d’une étude menée en décembre 2016, l’ECHA affirme que les tests de toxicité subaiguë peuvent suffire afin de définir le taux de toxicité de la substance. En somme, si les tests démontrent un faible niveau de toxicité subaiguë alors les déclarants ne sont pas tenus d’effectuer les tests de toxicité aiguë complémentaires.
La mise en relation des données consommateurs et des données sensorielles est une étape essentielle…
Julie Lasterade 25 octobre 2024 Dans la lignée des compléments alimentaires aux allures de bonbons,…
7 février 2025 Perfect Corp., fournisseur de technologies de Beauty & Fashion Tech en intelligence…