Au cours du vieillissement, la peau subit une dégradation de ses propriétés biomécaniques, et en particulier une perte d’élasticité qui entraîne un relâchement cutané. Les fibres élastiques du derme sont les principaux éléments qui donnent à la peau son élasticité et sa résilience.
Mais avec le temps, leur organisation et leur fonctionnalité s’altèrent, ce qui en fait une cible incontournable des stratégies cosmétiques anti-âge.
Les substituts cutanés développés par bio-ingénierie tissulaire, facilement disponibles sur le marché actuellement, restent des modèles imparfaits pour étudier l’élasticité de la peau. En effet, ils contiennent des supports exogènes et artificiels qui biaisent la mesure des propriétés biomécaniques dans les dits tissus.
Le développement d’un modèle approprié pour étudier mécaniquement une structure tissulaire comme celle de la peau était donc nécessaire.
Publié par Industries Cosmétiques, le 16 mars 2021
La 9 ème édition du SPIM - Skin Physiology International Meeting 2024 organisée par la…
Paris, le 17 octobre 2024 - Aujourd'hui, à l’occasion du Skin Alliance Forum, la division Beauté…
Mibelle Biochemistry – à l’origine de la technologie de culture de cellules végétales PhytoCellTec –…