La législation sur les nanoparticules tente de se mettre en place tant bien que mal dans un contexte scientifique très incertain. En effet, les méthodes d’évaluation de la toxicité des substances chimiques conventionnelles ne sont pas directement transposables aux nanomatériaux. Il ne viendrait à personne l’idée d’interdire la plage sous prétexte que le sable est toxique pour l’homme. Pourtant, lorsqu’elle est réduite à l’échelle nanométrique (entre le millionième et le milliardième de mètre), la silice − principal composant du sable − pénètre les muqueuses et peut être internalisée par nos cellules, ce qui soulève la question de sa toxicité.

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