Par Gaëlle Fleitour – Publié le | L’Usine Nouvelle n° 3452
À partir d’un échantillon de peau jeune, âgée ou traitée par un produit, l’outil distingue par fluorescence les protéines endommagées par l’oxydation – les protéines carbonylées – et les compare. Les protéines oxydées sont séparées grâce à un procédé d’électrophorèse en 1 ou 2 D, puis comptabilisées par la spectrométrie de masse.
« En matière de tests d’efficacité des crèmes anti-âge, la révolution est en marche », estime Martin Baraibar, le PDG d’OxiProteomics.
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