Skinobs vous partage les chiffres clés du 1er semestre 2023 !
1 août 2023
SKINOBS est ravi de vous partager les faits marquants des tests précliniques et cliniques en cosmétiques, ainsi que quelques chiffres clés du 1er semestre 2023. Réalisé 2 fois par an, ce rapport vous oriente quand aux sujets cosmétiques de prédilection, en analysant l’évolution des thématiques de recherches effectuées sur ses deux plateformes (clinique et préclinique) par rapport à la même période sur l’année 2022.
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Test cliniques : le boom des tests consommateurs
Le top claim du semestre : l’hydratation. Représentant près de la moitié (49%) des recherches, et ayant fait un bond de 12 points depuis 2022, l’hydratation est la revendication reliée au plus grand nombre de méthodes et d’instruments de mesure pour son évaluation (plus de 25 sur les deux plateformes).
La revendication barrière cutanée entre dans les recherches de manière significative : 18% des recherches. Celle-ci caractérise une nouvelle posture de la cosmétique voulant davantage protéger la peau, et s’inscrit dans une tendance post Covid.
Les tests biométrologiques restent en première position avec 51% des recherches, mais les tests consommateurs gagnent 8 points pour s’établir à 21% des recherches. Ceux-ci bénéficient de la tendance neurosensorielle, mais aussi l’avènement des méthodes nomades en lien avec les outils digitaux, qui permet de solliciter les volontaires de manière plus précise et efficace.
Tests précliniques : de nouvelles revendications font leur apparitions
Du coté des tests précliniques, on observe une homogénéité au sein des recherches, où aucune revendication ne prédomine. Les revendications « non-photo-toxique », « anti lumière bleue », « anti-pollution », et « fonction barrière » apparaissent dans les recherches. Ces 3 dernières revendications sont en lien avec la notion d’exposome, qui identifie l’ensemble des facteurs environnementaux auxquels nous sommes exposés, notamment ici la lumière bleue de nos écrans et la pollution.
La revendication « anti-âge » reste en tête, représentant 18% des recherches. Pour rappel, cette allégation fait appel à des technologies et des outils de biométrologie sophistiqués, avec différentes options de validation quantitative ou/et visuelle, et est une revendication ombrelle associées à des sous-revendications : tâches, pigmentations, rides, éclat, et beaucoup d’autres…
Du côté des types de test réalisés, on note l’apparition du conseil, des tests UV in Vitro et des tests d’écotoxicité. Le conseil semble de plus en plus attendu par les marques : les prestataires ont en effet une connaissance exhaustive des ingrédients disponibles, de leur conformité aux normes, niveau d’efficacité et de leurs allégations. Ils sont donc aptes à accompagner les marques dans le développement de leurs produits cosmétiques.
Les tests d’Ecotoxicité sont une des attentes majeures des consommateurs d’aujourd’hui. L’attention portée au respect de l’individu et de l’environnement n’a jamais été aussi importante, et les industries cosmétiques démontrent une réelle motivation à s’engager. L’éco-responsabilité se manifeste par davantage d’éthique dans les tests réalisés sur l’homme, grâce à la suppression de protocoles qui pouvaient altérer la peau des volontaires
👉Retrouvez ici le rapport semestriel complet du 1er semestre 2023
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