Gilbert Skorski – Président de PHYLOGENE – 25 mai 2015
Une nouvelle étude intéressante a défini un panel de biomarqueurs dans une étude sur la peau de la souris et ensuite les a utilisés pour une évaluation d’ingrédient.
L’usage des biomarqueurs demande des validations extensives.
Nous avons fait deux études de ce type sur la peau humaine.
Nous avons identifié IDH2 comme vecteur d’effet pour des mécanismes et des épreuves similaires.
Nous avons également identifié des voies métaboliques différentes que notre analyse CORAVALID® a relié aux modifications du TCA et aux changements macroscopiques. De ce fait, il nous apparaît important de recommander les approches non-ciblées pour de telles études, qui ont la capacité de donner une vue plus large et plus complète sur les procédés en cours.
L’intérêt est de ne pas utiliser des biomarqueurs trop tôt qui apportent un risque si leur validation est insuffisante.
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