Les neurosciences et l’analyse du cerveau, une vraie neuromanie ? Qu’en pensent Albert Moukheiber, Ph.D et Hervé Mazurel, historien des sensibilités.
Merci pour ce partage des idées larges
Quelques orientations !
Attributions des fonctions du #cerveau à des lobes, à des zones ?
Plutôt une organisation en #réseau ?
Quel influx d’#oxygène dans le cerveau, et quelle validité de la soustraction cognitive ?
Quel prise en compte du #contexte dans l’analyse du cerveau ?
Un gap énorme qui donne une illusion de l’analyse. De la #totologie
Sommes-nous seulement notre cerveau ? Comment les émotions sont-elles influencées par le contexte symbolique social ?
Est-ce le fantasme du marketing de vouloir comprendre et tout expliquer des #émotions ?
Comment réussir à élucider « Le problème difficile de la conscience » ?
Expérience phénoménologique, du vécu tellement difficile à mesurer…
Et l’erreur de la cause unique… Vive l’#holistique
Depuis une trentaine d’années, c’est la grande mode du cerveau. On pourrait tout expliquer par les mécanismes cérébraux. Non seulement comment on voit et comment on parle, mais aussi comment on pense et comment on se trompe, et même pourquoi les gens mangent gras, sont paresseux, échouent à l’école ou votent à gauche.
La connaissance du cerveau pourrait entraîner des progrès non seulement en médecine, mais dans l’éducation, les politiques publiques, le management, et l’amélioration de soi.
Les #neurosciences peuvent-elles vraiment aider à comprendre nos comportements, et à résoudre nos problèmes de société ? Suis-je mon cerveau ?
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